Capsules d'info

Introduction

En complément de chacun des circuits-familles, « Passeurs de mémoire » propose des capsules d'info gratuites.

Bresolettes

Église de Bresolettes. (Photo : Alonso de Mendoza)

Guillaume Pelletier est baptisé vers 1598 dans l’église de Bresolettes en Normandie. Une plaque rendant hommage aux pionniers Guillaume et Antoine Pelletier a été apposée à l’intérieur de l’église en 1977 par l’ambassadeur du Canada en France, Gérard Pelletier, un descendant de Guillaume.

 

Les Pelletier 

Domaine de la maison ancestrale Pelletier à Bresolettes. (Association des familles Pelletier, photo: Pascal Pelletier)

Guillaume est le fils du marchand de bois Éloi Pelletier et de Françoise Matte. La famille compte au moins un autre fils : Antoine.

 

Mariage

Église Saint-Aubin

C’est dans la paroisse voisine de Saint-Aubin de Tourouvre, située à quelques kilomètres au sud de Bresolettes, que Guillaume épouse Michelle Mabille le 12 février 1619. On leur connaît trois fils : Claude (1622-), Guillaume (1624-) et Jean (1627-).

Le pionnier Jean Pelletier, que nous suivrons jusque dans le Kamouraska, est baptisé à Saint-Aubin de Tourouvre en 1627.

 

Nouvelle-France

Carte de Nouvelle-France dessinée par Champlain 1612 (Wikipédia)

Une dizaine d’hommes et une Fille du roi (Marie) portant le patronyme Pelletier s’établissent en Nouvelle-France avant 1755 ; la majorité arrive entre 1636 et 1690. Les familles de Jean Pelletier et de Pierre Dessaint Saint-Pierre sont les deux premières familles de la seigneurie des Aulnaies pendant dix-neuf ans. 

Guillaume Pelletier est le chef de la lignée qui nous mène jusqu’aux seigneuries de la Grande-Anse ou des Aulnaies, de La Bouteillerie et de La Pocatière. En 1641, Guillaume père exerce le métier de charbonnier lorsqu’il décide de partir pour la Nouvelle-France. Avec son épouse Michelle, ils disposent de leurs biens et font le voyage avec leur fils Jean et vraisemblablement leur autre fils Guillaume. Aucune des sources consultées n’indique la présence de Claude Pelletier, leur fils aîné.

Le frère de Guillaume père, Antoine, aurait été du voyage. Il épouse la Rochelaise Françoise Morin le 19 août 1647 à Québec. En octobre de la même année, il se noie, en tombant d’un canot, près de sa maison, au Sault-de-Montmorency. Comme plusieurs de leurs compatriotes, les frères Pelletier auraient été recrutés par Robert Giffard, un des principaux artisans de l’immigration percheronne en Nouvelle-France. 

 

Aventure

Les Relations des Jésuites, 1646. (Collection P.-J.-Olivier Chauveau)

En 1646, Guillaume Pelletier, frère de Jean, accompagne les Jésuites à Sainte-Marie-des-Hurons. Dans les Relations des Jésuites, le père Lallemand écrit : « Le 28 [août 1646] je partis seul dans un canot pour aller aux Trois-Rivières. Je menai avec moi dans une chaloupe deux hommes et un enfant. L’un des hommes était le fils du « gobloteur », nommé Guillaume Pelletier, déserteur, scieur de long, charpentier, charbonnier, etc. Il se donna tout d’un coup ; on promit toutefois à ses parents cent francs pour sa première année, et on ne laissa pas de l’habiller tout de neuf. »

Jean Pelletier aurait suivi un cheminement semblable à celui de son frère Guillaume et serait lui aussi entré chez les Jésuites en août 1646. Aucun document ne permet de dire quelle fut la durée exacte du séjour de Jean Pelletier en Huronie.

 

Dit Gobloteur ou LeGobloteur

« On ignore la provenance du surnom Gobloteur, mentionné pour la première fois en 1646 dans un récit des Jésuites. Le mot serait peut-être issu du vieux français gobeloteur, un dérivé de gobelet, signifiant « qui boit souvent, à petits coups » et, par extension, « qui aime s'amuser ». Ville de Québec, toponymie

 

Voisins

Plan de la seigneurie de Beauport (tiré de Marcel Trudel, Le terrier du Saint-Laurent en 1663. Beauport, au cœur du vieux bourg, Commission des biens culturels du Québec, 2005)

Après s’être fiancé deux ans plus tôt, Jean Pelletier épouse Anne Langlois à Québec le 9 novembre 1649. Jean a 21 ans et Anne n’a que 12 ans. La cérémonie est célébrée par le prêtre Jean Lesueur dans la résidence de Robert Giffard à Beauport.

Anne est née à Québec en 1637 du mariage de Noël Langlois et de Françoise Garnier. C’est à Québec que Noël et Françoise se marient peu après leur traversée. Ils s’établissent à Beauport sur une terre concédée par Giffard. Anne est la troisième de leurs onze enfants tous nés à Québec entre 1635 et 1651.

Après le décès de Françoise en 1665, Noël épouse la veuve Marie Crevet avec qui il n’a pas d’enfant. La sépulture de Langlois a lieu le 15 juillet 1684. Dans les registres de Beauport, on note que « Noël Langlois âgé d’environ 80 ans et plus ancien habitant du pays [est] décédé le jour de devant dans la piété chrétienne après avoir reçu les sacrements de l’Église et mené une vie exemplaire avec l’approbation de toute la paroisse. »

 

Famille de Jean et Anne

Les enfants de Jean Pelletier et d’Anne Langlois se marient et laissent une nombreuse descendance. 

L’ancêtre Jean Pelletier ainsi que ses fils Noël et Jean auraient fait partie du groupe qui a empêché le débarquement des troupes du major général anglais William Phips sur les rives de Rivière-Ouelle en 1690.

POUR EN SAVOIR DAVANTAGE, consultez le panneau d’interprétation « Les héros de Rivière-Ouelle » qui fait partie du Circuit Fil Rouge Rivière-Ouelle. Un autre panneau d’interprétation relate l’événement; il est situé dans le parc Ernest-Gagnon qui longe la rivière devant l’église Notre-Dame-de-Liesse.

 

Noël Pelletier

Acte de baptême de Joseph, Rivière-Ouelle, 3 août 1704

Noël, le fils aîné d’Anne et de Jean, naît en 1654 et il épouse Madeleine Mignault en 1674. Ils ont huit enfants. La famille s’établit à la Grande-Anse, dans la seigneurie de La Pocatière vers 1676, et c’est là que leur fils aîné est baptisé en décembre. L’acte de baptême est inscrit dans le registre de Notre-Dame-de-Québec par le missionnaire Thomas Morel.

L’aîné, prénommé Noël comme son père, épouse Marie-Anne Thiboutot à Rivière-Ouelle en 1708. En 1701 à Rivière-Ouelle, Charles, leur second fils, épouse Anne Soucy, fille des pionniers Jean Soucy et Jeanne Savonnet. Leur autre fils, Jean-François, y marie Madeleine Lavoie en 1710.

À Rivière-Ouelle, le 3 août 1704, Noël Pelletier et Jeanne Savonnet sont respectivement parrain et marraine de Joseph qui, avec son père François et sa mère Marguerite, sont tous inscrits dans l’acte de baptême comme « sauvage », sans nom de famille. L'acte, dont un extrait est reproduit sur cette planche, se lit comme suit : « L’an mil sept cent quatre ce troisième aout a ete baptise par --- soussigné cure de cette paroisse joseph agé d’un mois fils de François et Marguerite la femme --- sauvages le parrain a ete Noel Peltier et la marraine Jeanne Savonet [Savonnet] épouse de Francois Miville qui ont declaré ne savoir écrire ny signer a ete interpellez… ».  JBernard Derequeleyne P. C.

 

Anne Pelletier

Anne, seconde enfant de la famille d’Anne Langlois et de Jean Pelletier, naît en 1656. Elle épouse Guillaume Lizotte le 19 janvier 1670 à Québec. Ce dernier est le fils de Robert et de Catherine Joanne. Ils ont neuf enfants. Les enfants d’Anne et Guillaume se sont tous mariés à Rivière-Ouelle, sauf Catherine, la cadette. Anne Pelletier et Guillaume sont les ancêtres de tous les Lizotte d’Amérique.

Guillaume Lizotte se remarie en 1696 à Québec, Anne, sa première épouse, étant vraisemblablement décédée vers l’âge de 30 ans. Guillaume épouse Marguerite Peuvret (Peuvrier), fille de Nicolas, procureur au Parlement de Paris. Fille du roi, elle aurait fait partie du contingent de 1662 et se serait mariée à Québec en même temps que les Filles arrivées en juin 1663.  Marguerite est veuve du chirurgien Jacques Meneux et mère d’au moins dix enfants, dont la plus jeune est âgée d’environ 14 ans.

En 1702, Noël Lizotte, fils de Guillaume et d’Anne Pelletier, épouse Catherine Meneux, fille du premier mariage de sa belle-mère Marguerite. En 1705, Marie-Anne Lizotte, fille de Guillaume et d’Anne Pelletier, suit les traces de son frère et épouse Joseph Meneux, fils de sa belle-mère.

 

René Pelletier

René Pelletier naît le 2 mars 1659. Il épouse Madeleine Leclerc à Saint-Pierre, île d’Orléans le 5 novembre 1691 et le couple s’y établit. Six enfants naissent de leur union. Le corps de Madeleine Leclerc repose dans le cimetière de Saint-Pierre. Il y est inhumé le 24 octobre 1702. René épouse, le 23 juillet 1703, la veuve Jeanne-Anne Godbout. Ils ont trois enfants. René décède à Saint-Pierre le 13 janvier 1713.

 

Jean Pelletier

Jean naît le 19 avril 1663 et épouse Marie-Anne Huot Saint-Laurent à Rivière-Ouelle le 8 janvier 1689. Ils ont huit enfants tous nés à Rivière-Ouelle entre 1689 et 1703. Leur fils Joseph (1694-1753) épouse Marie Anne Boucher (1701-1797), fille de Pierre Boucher (1673-) et de Madeleine Dancause, fille de Pierre Dancause et de Madeleine Bouchard. Ce mariage illustre bien les alliances matrimoniales qui se forment à l’époque entre les grandes familles de la région.

Marie-Anne Huot Saint-Laurent et Jean Pelletier décèdent successivement en 1734 et en 1739; Marie-Anne est inhumée à Sainte-Anne-de-la-Pocatière et Jean, à Saint-Roch-des-Aulnaies. Jusqu’en 1735, alors que s’ouvrent les registres, les paroissiens de Saint-Roch étaient inhumés à Sainte-Anne. Leur petit-fils Joseph est l’arrière-grand-père de Charles-Alphonse-Pantaléon Pelletier, un autre illustre Rivelois.

 

Charles-Alphonse-Pantaléon Pelletier

Charles-Alphonse-Pantaléon Pelletier naît le 22 janvier 1837 à Rivière-Ouelle. Il est le fils de Jean-Marie Pelletier, cultivateur et marchand, et de Julie Painchaud, sœur de l’abbé Charles-François Painchaud, fondateur du Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière en 1820. Il fait ses études au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière et il étudie le droit à l’Université Laval. En 1861, il épouse Susanne Casgrain, fille de Charles-Eusèbe Casgrain et d’Eliza-Anne Baby 

En 1866, Pelletier épouse la descendante d’une autre grande famille, Eugénie de Sales Laterrière. Charles-Alphonse-Pantaléon Pelletier est un politicien influent. D’allégeance conservatrice, Pelletier se lance en politique et se retrouve confronté en 1867 avec un autre conservateur, Jean-Charles Chapais. Charles-Alphonse-Pantaléon Pelletier succède à Luc Letellier à titre de ministre de l’Agriculture et, comme lui, il est désigné comme Lieutenant-gouverneur du Québec. Il est en fonction de 1908 à son décès en 1911.

POUR EN SAVOIR DAVANTAGE, consultez en ligne la biographie de Jean-Guy Pelletier, « PELLETIER, sir CHARLES-ALPHONSE-PANTALÉON », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 14, Université Laval/University of Toronto, 2003 en cliquant ici.

 

Marie Pelletier

Marie, fille de Jean et d’Anne Langlois, naît le 4 mai 1667. Elle décède le 6 novembre 1725 à Cap-Saint-Ignace après avoir donné naissance à 15 enfants sur une période de 28 ans. Elle épouse Jacques Jalbert (Gerbert) à Cap-Saint-Ignace le 5 mai 1686 avec qui elle a huit enfants, tous nés à Cap-Saint-Ignace. Leur fille Dorothée est inhumée à Rivière-Ouelle à l’âge de sept ans. À Rivière-Ouelle le 21 septembre 1718, leur fils Joseph épouse Catherine Gagnon, fille de Jacques et Madeleine Rochon Rocheron et petite-fille des pionniers Robert Gagnon et Marie Parenteau. Joseph est inhumé le 5 mai 1774 à Saint-Anne-de-la-Pocatière. 

Marie épouse Mathieu Guillet à Cap-Saint-Ignace le 26 novembre 1700, quelques mois après le décès de son premier mari. À Cap-Saint-Ignace, elle a sept autres enfants de ce second mariage. 

POUR EN SAVOIR DAVANTAGE, suivez les traces de la famille Gagnon-Belzile en cliquant ici et procurez-vous le circuit généalogique PASSEURS DE MÉMOIRE qui lui est consacré.

 

Charles Pelletier

Charles naît à Québec le 25 septembre 1671. Il épouse Thérèse Ouellet le 7 janvier 1698 à Rivière-Ouelle. Elle est la fille des pionniers rivelois René Ouellet et Thérèse Mignault. Charles Pelletier et Thérèse Ouellet auront à Rivière-Ouelle trois garçons et deux filles dans la future paroisse de Saint-Roch-des-Aulnaies ; ils les font baptiser à Rivière-Ouelle, seule église sise dans les environs. Leurs enfants Charles, Joseph et Thérèse se marient et s’établissent dans la région. Thérèse Ouellet décède prématurément en 1706 ; elle n’a pas encore 30 ans. En 1711, Charles Pelletier épouse Barbe Saint-Pierre à Rivière-Ouelle. Il a dix enfants de ce second mariage. 

Charles décède à Saint-Roch-des-Aulnaies le 30 décembre 1748.

 

Charlotte Pelletier

Charlotte, cadette de la famille de Jean et d’Anne, est baptisée en 1674 à Beauport, les parents souhaitant comme parrain et marraine Charles et Marie-Anne Juchereau, enfants du seigneur de la Grande-Anse et de Thérèse Giffard (fille de Robert Giffard).

Charlotte épouse André Minier dit Lagacé à Rivière-Ouelle le 10 novembre 1693 et y est inhumée le 2 septembre 1699. André épouse Françoise Ouellet le 31 mai 1701. Âgée de 18 ans, elle est la fille de René et de Thérèse Mignault.  Ils ont 12 enfants tous né à Sainte-Anne-de-la-Pocatière, les six aînés sont baptisés à Rivière-Ouelle entre 1702 et 1712, seule église des environs. Les six autres sont baptisés dans leur paroisse natale de Sainte-Anne-de-la-Pocatière. 

En 1697 à Rivière-Ouelle, Charlotte, tout comme son frère Noël Pelletier en 1704, est marraine d’André, d’origine abénaquise, et son mari est parrain. Le père de l’enfant, prénommé Ignace, n’a pas de nom de famille et le prénom de sa mère est laissé en blanc dans l’acte.

Trois filles d’Anne Pelletier et Guillaume Lizotte épousent des fils issus des deux mariages d’un autre pionnier rivelois, René Ouellet. L’aînée, Françoise Lizotte, marie Joseph Ouellet le 12 février 1691 et Marie-Anne-Josèphe épouse Grégoire Ouellet le 5 mars 1696. Ils sont les fils de René Ouellet et d’Anne Rivet. Madeleine Lizotte épouse Sébastien Ouellet, fils de René et de Thérèse Mignault, le 16 août 1707.

Jean-Baptiste Pelletier, fils de Jean, épouse Angélique-Marguerite Ouellet à Rivière-Ouelle en 1714. Elle est la fille de René Ouellet et de Thérèse Mignault. Elle est également la veuve d’Ignace Bérubé, fils des pionniers Damien et Jeanne Savonnet. C’est dire que, sur les 11 enfants des deux mariages de René Ouellet, cinq ont épousé, à Rivière-Ouelle, un fils, un petit-fils et trois petites-filles d’Anne Langlois et Jean Pelletier.

POUR EN SAVOIR DAVANTAGE, suivez les traces des familles Bouchard, Bérubé, Boucher, Dancause, Lizotte, Ouellet, Soucy et Thiboutot en cliquant ici et procurez-vous les circuits généalogiques PASSEURS DE MÉMOIRE consacrés à ces familles.

 

Décès

Acte de sépulture de Jean Pelletier, Rivière-Ouelle, 1698

 

Jean décède le 24 février 1698 à l’âge de 70 ans. Il est inhumé à Rivière-Ouelle.  Anne Langlois est enterrée à Rivière-Ouelle le 17 mars 1704. L’acte de sépulture se lit comme suit : « L’an mil six cen nonante huit le vingt cinquième février a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse par moy prestre soussigné Jean Pelletier agé de 66 ans décédé le 24e jour précédent du même mois de février, ont assisté à l’enterrement Robert Leveque et François Pinel ». JBernard Derequeleyne P. C. » 

Les ancêtres Jean Pelletier et Anne Langlois ainsi que leur fils Noël et leur fille Charlotte sont inhumés dans le premier cimetière de Rivière-Ouelle. Guillaume Pelletier est inhumé le 28 novembre 1657 à Québec, à 59 ans. Son épouse, Michelle Mabille, est enterrée le 21 janvier 1665 à Québec, à 73 ans.

POUR EN SAVOIR DAVANTAGE, rendez-vous à l’entrée du cimetière de Rivière-Ouelle pour y découvrir le Mémorial situé dans le Parc des ancêtres. Son plan et ses listes sont conçus pour faciliter la recherche des défunts et leur localisation. Ce Mémorial de Parcours Fil Rouge évoque aussi plusieurs éléments inscrits dans ce secteur d’intérêt historique.

 

Les armoiries

Armoiries de la famille Pelletier 

Devise : Stella Ducet (conduit par l’étoile)

Description : D’azur au chevron d’or, accompagné de trois pommes de pin du même et surmonté d’une étoile d’argent au chef du blason.

Couleur :

  • L’azur (bleu) représente la loyauté et la splendeur.
  • L’or dénote la générosité, la valeur ou la persévérance.
  • L’argent symbolise la sérénité et la noblesse.

Signification : Le chevron indique que le porteur a accompli un fait d’armes remarquable. Les pommes de pin désignent le lieu d’origine du héros : la Bretagne. »

 

POUR EN SAVOIR DAVANTAGE, parcourez le circuit généalogique PASSEURS DE MÉMOIRE consacré à la famille Pelletier en cliquant ici et procurez-vous le premier livre de la collection historique « Passeurs de mémoire »Le Kamouraska et la Grande‑Anse, en cliquant ici. Publié aux Éditions GID, ce premier titre embrasse le territoire du Kamouraska avec une incursion à l’ouest soit le littoral du fleuve Saint-Laurent, de Saint-André à Saint-Roch-des-Aulnaies, couvrant jusqu’aux terrasses du piémont et à l’arrière-pays.

POUR EN SAVOIR DAVANTAGE, consultez le site Web de l’Association des Familles Pelletier en cliquant ici.